Les entreprises, administrations, institutions académiques ou publiques, qu’elles soient exportatrices ou simples utilisatrices, doivent plus que jamais :
- prendre en compte les nombreuses réglementations et législations complexes, en constante évolution, et pour certaines à vocation extraterritoriale ;
- les rendre opérationnelles dans leurs activités et chaines de valeur globalisées ;
- optimiser leur organisation et maitriser les risques réputationnels, financiers et pénaux, ceux de leurs dirigeants, collaborateurs et partenaires.
Parmi ces risques, figure la nécessité́ pour certains secteurs de prévenir la prolifération militaire, chimique, bactériologique ou nucléaire et, au-delà :
- de combattre la corruption, le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme ;
- de maitriser les biens et technologies à double usages et les règlementations associées, dans un contexte d’émergence extrêmement rapide ;
- de maîtriser les utilisateurs et les usages finaux ;
- de maîtriser l’application stricte des sanctions économiques à l’encontre des personnes (morales et physiques) et des pays sous embargos ;
- de maîtriser leurs relations avec les parties prenantes et les ONG.